Elle souffla sur la couverture recouverte de poussière. Aucune inscription présent ne permettait d’en définir l’origine, mais le cuir vieilli portait des symboles faits, semblables à bien ceux rencontrés au sanctuaire. Émergea à ce moment-là le souvenir des tablettes sacrées qu’on disait dispersées de partout dans le gouvernement, destinées à retranscrire les traditions remarquables nous fournissant le moyen de prendre soin l’équilibre entre le univers tangible et les forces surnaturels. Ses soi feuilletèrent doucement les premières lignes, déchiffrant des symboles obscurs, mi-pictographiques, mi-alphabétiques. Elle n’en comprenait que de très importantes cartomanciens, mais elle reconnaissait l’essence même de cette langue ancienne, liée à la lauriana voyance et transmise des générations en génération. Un frisson la parcourut lorsqu’elle tomba sur une page illustrée. 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